Peut-être que les bons ouvrages de philosophie se reconnaissent au fait qu’ils permettent de complexifier des sujets que l’on croyait simples en en faisant apparaître des facettes nouvelles, tout en les rendant plus clairs. Si l’on admet cette proposition paradoxale, alors il faut classer le livre de Charles Girard dans la catégorie des bons livres.